Et si le Club Dorothée était la foire aux langues de vipères ? C'est le site Abstrait ≠ Concret qui m'a mis la puce à l'oreille.
http://www.abstrait-concret.com/2008/02/20/quoi-les-muscles-des-langues-de-pute/
En effet, le Club Dorothée était parfois attaqué pour la stupidité de son contenu (accusations stupides pour les animés, mais justifiées pour les sitcoms) un peu dans tous les coins, en particulier dans les médias de gauche (Télérama, Canal+...).
Mais était-ce une raison pour prendre l'antenne en otage ?
Oui, antenne en otage, car Jean-Luc Azoulay (alias Jean-François Porry) utilisait tous les moyens qui lui étaient à sa disposition pour se venger de ces attaques et/ou moqueries, et il n'hésitait pas à prendre l'antenne en otage. La chanson "Antoine Daicône" est sans doute l'un des plus beaux (ou plutôt pires) exemples en la matière :
Mais si, dans le titre, je parle du "Club Dorothée" et non pas des "Musclés" tout simplement, c'est parce qu'en fait, les Musclés n'étaient qu'un élément parmi tant d'autres. Bon nombre de choses innocentes pour des yeux d'enfants étaient en réalité des messages (à peine) cachés, jugez plutôt :
Encore deux autres exemples : "Marotte et Charlie", qui se moquait de Marie Dauphin et Charlotte Kady, les deux présentatrices qui avaient succédé à Dorothée à la présentation de Récré A2. "Les Folies du Club Dorothée" révèle du "encore pire" :
Et enfin, pour conclure, le dernier couplet de la chanson des Musclés "La Valse des..." sortie en 1993, se passe de tout commentaire :
Donc que pourrait-on dire de plus ?
Sans doute que le Club Dorothée a eu ses hauts et ses bas, mais que les bas ne peuvent pas être négligés. Il a fait rêver beaucoup d'enfants aujourd'hui trentenaires, le regretter est compréhensible quand on voit ce qu'il y a maintenant, mais finalement, les "japoniaiseries" n'étaient qu'un pion sur le damier dans ce qui donnait au Club Do' une réputation d'émission "pas sage".
http://www.abstrait-concret.com/2008/02/20/quoi-les-muscles-des-langues-de-pute/
En effet, le Club Dorothée était parfois attaqué pour la stupidité de son contenu (accusations stupides pour les animés, mais justifiées pour les sitcoms) un peu dans tous les coins, en particulier dans les médias de gauche (Télérama, Canal+...).
Mais était-ce une raison pour prendre l'antenne en otage ?
Oui, antenne en otage, car Jean-Luc Azoulay (alias Jean-François Porry) utilisait tous les moyens qui lui étaient à sa disposition pour se venger de ces attaques et/ou moqueries, et il n'hésitait pas à prendre l'antenne en otage. La chanson "Antoine Daicône" est sans doute l'un des plus beaux (ou plutôt pires) exemples en la matière :
Mais si, dans le titre, je parle du "Club Dorothée" et non pas des "Musclés" tout simplement, c'est parce qu'en fait, les Musclés n'étaient qu'un élément parmi tant d'autres. Bon nombre de choses innocentes pour des yeux d'enfants étaient en réalité des messages (à peine) cachés, jugez plutôt :
Encore deux autres exemples : "Marotte et Charlie", qui se moquait de Marie Dauphin et Charlotte Kady, les deux présentatrices qui avaient succédé à Dorothée à la présentation de Récré A2. "Les Folies du Club Dorothée" révèle du "encore pire" :
Une chanson particulièrement médiocre sort même en 45 tours en 1990 pour enfoncer le clou, alors que les deux animatrices ne sont plus à l'antenne. Vraiment pas sympa...
Et enfin, pour conclure, le dernier couplet de la chanson des Musclés "La Valse des..." sortie en 1993, se passe de tout commentaire :
"Les gens qui en savent plus / Parc' qu'ils ont Canal Plus / Ceux qui croient que Libé / Ne peut pas se tromper / Qui s' font leur cinéma / Avec Télérama / Ces gens là / Ces gens là sont des..."
Donc que pourrait-on dire de plus ?
Sans doute que le Club Dorothée a eu ses hauts et ses bas, mais que les bas ne peuvent pas être négligés. Il a fait rêver beaucoup d'enfants aujourd'hui trentenaires, le regretter est compréhensible quand on voit ce qu'il y a maintenant, mais finalement, les "japoniaiseries" n'étaient qu'un pion sur le damier dans ce qui donnait au Club Do' une réputation d'émission "pas sage".